Paulette nous raconte sa 2eme expérience de stage BDSM de deux jours en ma compagnie.

Paulette nous raconte sa 2eme expérience de stage BDSM de deux jours en ma compagnie.

 

Ceci est l’histoire vraie du deuxième stage BDSM que j’ai eu l’honneur de réaliser au pieds de la sublissime Maîtresse Mercury.

J’ai la chance d’être marié à une femme formidable, qui comprend mes besoins de soumission et de souffrance de grosse salope masochiste, et m’autorise à retrouver une fois par an la merveilleuse Maîtresse Mercury pour un stage intense de 48h.

Bien qu’elle ne m’en ait intimée l’ordre, j‘avais mis mon sexe sous cage une semaine avant le stage, pour être des plus excités. Durant cette semaine, je préparai consciencieusement mon cul de salope avec des godes de plus en plus gros (jusqu’à 7cm de diamètre, et je commence à pouvoir enfiler des godes de diamètre de 8cm, car j’avoue être une très grosse salope).

Le matin du départ, je me préparai avec un lavement profond et enfilai mes portes jarretelles et bas résille sous mon costume. Dans le train, je bandai, sexe écrasé dans sa cage, en pensant à ce que j’allai subir aux pieds de Maîtresse Mercury, domina expérimentée des plus sadiques et humiliatrices. Je fus servi au-delà de ce que j’avais imaginé

Maîtresse Mercury m’attendais à la gare. Elle me cala au fonds de la plage arrière du véhicule conduit par soumis Ho, me lia les mains et les pieds avec du gros scotch et me mis un bâillon. J’étais enlevé pour être amené au donjon de Maîtresse Naëlle que nous avions loué pour ces 48 heures de stage.

Arrivé au donjon, je me retrouvai enfin aux pieds de ma tortionnaire. Pour ceux qui n’ont pas l’honneur de la connaître, Maîtresse Mercury est une femme magnifique, dotée d’un corps parfaitement entretenu, tatouée de la tête aux pieds, d’un fessier à faire bander un mort et de pieds menus que je baisais respectueusement. J’espère que vous aurez tous la chance, le plaisir de lécher et sucer chaque orteil de ces petons, magnifiquement manucurés et entretenus. J’étais tellement heureux d’être là…

Pour commencer, je dus me mettre nu et présenter mon collier, signe d’appartenance à ma tortionnaire. Elle m’amena à la douche et m’enfila un gode en métal dune 30aine de centimètre et d’environ 3 centimètres de diamètre avec de multiples trous. Une fois bien enfoncée dans mon trou, ma dominatrice m’ordonna de le fixer au tuyau de la douche. J’effectuai alors de nouveaux lavements pour être sûr d’être bien propre intérieurement. Ma cage me fût également retirée pour laver mon sexe, puis remise. Une semaine seulement sans pouvoir toucher mon sexe, ça va, sachant qu’il y a des soumis qui passent des mois avec leurs bites encagées avant d’avoir la chance d’être vidangés !!

Déesse Mercury m’ordonna par la suite d’enfiler la robe de pute que je venais d’acquérir, m’enfila une cagoule et me demanda de m’allonger sur le lit du donjon. Elle amena une caméra, et m’expliqua que j’allais être l’actrice d’un live-show. Terriblement excité, ma reine commença par me lier avec sa science du shibari. J’adore la sensation des cordes sur le corps. Une fois ligoté, elle m’enfila un plug et me travailla mon anus. Toujours visionnée par une dizaine de personnes, elle me fit sucer son gode ceinture.

Le première rencontre de ce stage fût avec la transsexuelle S. Je l’accueillais, toujours habillée en salope. Maîtresse Mercury m’ordonna alors de sucer S. Je n’avais pas sucé de bites depuis mon dernier stage, et j’avoue que je commençais à y prendre goût !! S. me força à avaler son chibre en entier. Il va falloir que je m’entraîne à la « gorge profonde », car j’ai encore un peu de mal !! Puis, ma dominatrice m’installa sur la chaise gynécologique, me ligota consciencieusement les mains (y compris les doigts, installés dans un savant montage qui empêchait de les bouger), les pieds, et même la tête qui était fixé dans une sorte de carcan. Maîtresse Mercury me mit quelques pinces sur les couilles et installa le jouet qui allait devenir mon entraîneur pour le week-end: la « fuck machine ». Incapable de bouger, ma tortionnaire démarra ce système qui allait me labourer l’anus durant de longues minutes. Elle partit discuter avec S. pendant que je me faisais ouvrir le cul régulièrement par ce système inarrêtable. De temps en temps, Maîtresse Mercury venait augmenter la vitesse d’enculement et me titiller les seins avec une roulette à pointes. Une dizaine de minutes plus tard (ou 20, je ne saurai dire), ma souveraine m’extirpa de ce mécanisme. Je lui baisai les pieds pour la remercier, comme tout bon soumis se doit de le faire. A nouveau, elle m’ordonna de sucer S. Je la pris en bouche goulument, puis je reçus l’ordre de lui sucer les boules et de lui caresser les seins (très belle poitrine par ailleurs) pendant qu’elle se branlait sur mon visage. Enfin, Maîtresse Mercury m’enfila un gant et m’ordonna de lui enfoncer un doigt dans le cul. J’espérai recevoir son foutre sur mon visage de salope, mais S. étant actuellement sous traitement, elle ne put, à mon plus grand désarroi, atteindre l’orgasme. Dommage, ce sera pour une autre fois !!

Une fois la transsexuelle S. partie, je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle que ma tortionnaire m’installa sur la chaise de travail. Pieds et mains attachés, Maîtresse Mercury installa une nouveau la caméra pour montrer en live la cire qui coulait de la bougie agitée devant moi recouvrir mon sexe et mes couilles. Elle retira la cage, puis finit par me recouvrir entièrement le gland avec la cire brûlante. Je serrais les poings, incapable de bouger sur cette chaise qui lui donnait un accès facile à mon sexe.

Détaché, Maîtresse Mercury m’ordonna de me déshabiller, puis m’installa un harnais équipé d’une boule de 6cm qui rentrait profondément dans mon cul de salope. Le harnais fût verrouillé. Incapable de retirer cette boule, Déesse Mercury me mit dans la cage qu’elle referma avec un cadenas. Elle activa une caméra pour être sûr que tout allait bien et sortit pour un repos bien mérité. Je ne pouvais la voir, mais de temps en temps, Maîtresse Mercury me sollicitait pour savoir si la salope que je suis se portait bien.

A son retour, je lui proposais un massage de ses magnifiques pieds. Fétichiste des pieds féminins (fétichiste, soumis, masochiste, salope, soubrette, j’ai beaucoup de cordes à mon arc 😉), je dois avouer que c’est un plaisir qui me fût accordé, et j’espère qu’elle fût satisfaite par ce massage.

Je fus ensuite enfermé dans la cage et y passais une mauvaise nuit, encore excité par cette journée et à penser à ce que j’allais subir le lendemain.

Le lendemain matin, Maîtresse Mercury me libéra de ma cage dont je m’extrayais difficilement. Je baisais ces pieds dont je ne pouvais me passer. Elle me fit avaler une banane servie dans une gamelle que je mangeais à 4 pattes comme une chienne. J’aurais tellement aimé pouvoir la voir écraser cette banane et la déguster sous ses pieds. Peut-être une prochaine fois…

Après m’être douché et avoir réalisé mon lavement réglementaire, Maîtresse Mercury m’attacha sur le banc de travail. Des longues lanières m’immobilisaient les bras et les jambes et mon cul était bien ouvert, prêt à recevoir ce que ma Reine souhaiterait m’infliger.

Maîtresse Mercury installa à nouveau la caméra pour filmer mon anus qui allait être recouvert de cire. De temps en temps, je sentais un peu de cire chaude rentrée dans mon cul et esquissais un cri, mais la douleur était supportable.

Puis, ma sadique tortionnaire m’installa à nouveau sur la chaise gynéco. Une nouvelle fois incapable de bouger, elle me retira ma cage. Puis tranquillement, Maîtresse Mercury sortit un paquet d’aiguilles. Elle commença par les couilles, mais se ravisa après un léger cri de ma part. Elle attaqua alors le bas de mon sexe. Je sentais les aiguilles transpercées une part une tout le long de mon sexe en érection, puis revint sur les couilles pour finir son beau tableau d’une dizaine d’aiguilles. Maîtresse Mercury vint alors me placer les terribles pinces crocodiles sur mes tétons. Je résistais tant bien que mal à cette douleur qui traversait mes bouts de seins. Après quelques instants, elle installa à nouveau la fuck machine et le supplice du pilonnage non-stop redémarra. La salope que je suis se sentais totalement à sa merci, et je ne sais combien de temps Déesse Mercury décida que mon anus allait être défoncé, tout en faisant augmenter la vitesse pour varier les plaisirs

Au bout d’un temps que je ne saurai déterminer, ma dominatrice me libéra de la fuck machine et de la chaise gynéco. Elle m’ordonna d’enfiler ma tenue de salope, mes faux seins et mes talons aiguille de 10 cm. Maîtresse Mercury me ligota sur la chaise de travail, puis attacha une corde autour de mes couilles pour les étirer jusqu’à mes mollets fixés à la chaise. Elle me laissa dans cette position durant une vingtaine de minutes, le temps d’aller chercher ma deuxième rencontre, soumis Hb.

Nous avions déjà joué ensemble lors de mon précédent stage. Une fois libérée de la chaise, Maîtresse Mercury me retira ma cage, puis ordonna à soumis Hb de me sucer à genoux, pendant qu’elle lui donnait des petits coups de botte dans ses bourses. Soumis Hb était entièrement épilé. Son sexe était enfermé dans une cage de chasteté rose minuscule. C’était une bonne suceuse, car j’étais à deux doigts de jouir. Maîtresse Mercury le remarqua et stoppa ce jeu pour éviter que j’y prenne trop de plaisir et finisse par jouir. Elle installa soumis Hb sur la chaise gynéco et me demanda de l’enculer. J’avoue ne pas être très actif en tant que soumis (comme la plupart d’entre nous, je suppose), et malgré les efforts de soumis Hb, qui fût détaché et dû à nouveau me sucer, je n’arrivais pas à bander assez dur pour pouvoir l’enculer. Maîtresse Mercury installa alors soumis Hb sur le banc de travail. Solidement attaché, elle l’obligea à nouveau à me sucer pendant qu’elle l’enculait au gode ceinture. J’étais face à Maîtresse Mercury et je me trémoussais devant elle comme une chienne en chaleur, en caressant mes faux seins. Soumis Hb s’arrêtait de temps en temps de me sucer, comprenant bien que j’étais à deux doigts de jouir. Ma tortionnaire décida alors rapidement de me réinstaller sur la chaise gynéco pour un nouvelle traite à la fuck machine. Mon anus n’en pouvait plus, mais je me devais d’accepter tous ses supplices, car je voulais prouver que j’étais une bonne salope sous ses ordres.

Cette séance de travail à la fuck machine fût la plus dure. Maîtresse Mercury s’amusait à faire varier la vitesse, et je ne pouvais m’échapper de ce gode qui rentrait et sortait inlassablement de mon cul de salope, pourtant bien entraînée.

Elle n’avait pas oublié soumis Hb toujours sur solidement sanglé au banc de travail. Sa grande expérience lui permettait de s’occuper de 2 soumis en même temps, et nous étions tous 2 ravis de subir ses châtiments. Notre reine commença par lui faire rougir le fessier à la paddle, puis enfila un gant chirurgical pour lui travailler l’anus avec sa main. Malgré sa mini cage de chasteté, soumis Hb finit par jouir du cul en « squirtant ».

De mon côté, j’en étais à deux doigts (!!). Ma tortionnaire revint pour me fixer 2 patches électriques sur les couilles. Elle tortura également mes tétons avec une roulette à pointe. Elle me filmait en train de souffrir le martyr en espérant me voir également jouir du cul, mais à mon grand regret, je ne pus atteindre cette extase.

Maîtresse Mercury me libéra de la fuck machine et de la chaise gynéco. Elle m’ordonna d’aller prendre une douche et de mettre ma tenue de soubrette pour nettoyer, pendant qu’elle alla prendre un café avec soumis H pour débriefer.

J’attendais sagement son retour; lorsqu’elle revient avec soumis Ho. Elle m’ordonna de me déshabiller, puis me scotcha pieds et poings et m’enferma dans la cage, pendant que soumis Ho bénéficiait d’une séance privée auquel je ne pus malheureusement assister.

Une fois soumis Ho parti, ma tortionnaire me libéra et m’autorisa à lui lécher ses magnifiques pieds sanglés dans des chaussures à haut talon. Je devenais comme fou et léchais la moindre parcelle de ses chaussures, y compris les semelles que je nettoyais avec attention. Maîtresse Mercury m’attacha ensuite sur la croix. Elle me fixa un ball stretcher équipé de pics à son extrémité, qui rentrais dans mes couilles étirées et aplaties au fur et à mesure qu’elle tournait les molettes. J’entendis alors des pas dans l’escalier, et je savais que j’allais vivre le clou du stage: être à la merci d’un duo de dominatrices des plus sadiques !!

Maîtresse Naëlle, dont nous avions loué le studio pour le week-end, avait en effet accepté de se joindre à nous pour une courte période. Maîtresse Naëlle est également une femme magnifique, dans un style différent de Maîtresse Mercury. Une poitrine extraordinaire, des hanches à faire pâlir Kim Kardashian, j’admirais cette femme sublissime passer la porte de son antre. Maîtresse Mercury me détacha de la croix et, toujours avec le ball-stretcher et ces pointes qui s’enfonçaient dans mes couilles, je baisais et léchais les pieds et chaussures de Maîtresse Naëlle, pendant que Maîtresse Mercury me fouettait ses couilles écrasées. Maîtresse Naëlle m’ordonna de bien nettoyer entre les doigts de pieds, et j’étais aux anges de me retrouver entre les griffes de ces 2 sublimes dominatrices. Elles m’ordonnèrent alors de bien montrer mon cul. Je me mettais à 4 pattes, collait mon front à terre et présentais mon fessier qui allait être fouetté par tout ce qui leur passait sous la main: paddle, fouet, martinet,… . Un coup de Maîtresse Mercury atteint les couilles, déjà bien compressées, et je dus marquer un temps d’arrêt pour reprendre mon souffle. Mais les coups continuaient sans interruption. Elles me demandèrent alors de m’allonger sur le sol et me pissèrent toutes deux dans la bouche et sur mon corps. Je testais la différence de goût de leur champagne. Elles me crachèrent également dans la bouche et j’avalais leur crachat goulument. Elles me fixèrent ensuite sur la chaise gynéco. Maîtresse Mercury s’installa devant mon cul, mis un gant et commença à me fister de long en large. « Ça rentre comme dans du beurre » annonça-t-elle. Grâce à ma semaine de préparation et aux nombreux passages à la fuck machine, mon cul était bien ouvert et était devenu un vrai garage à bites. Pendant ce temps, Maîtresse Naëlle s’occupait de mes tétons. S’apercevant que des pinces classiques ne prenaient pas prises sur mes petits tétons, elle commença par y poser des petites pompes pour les faire ressortir un peu plus. Ensuite, elle sortit des pinces chirurgicales, beaucoup plus adaptées à mes petits bouts. Je tentais vainement de me sortir de cette douleur intense, mais j’étais totalement immobilisée sur cette chaise et ne pouvais qu’encaisser la douleur subie. Puis Maîtresse Naëlle entoura mon sexe et mes couilles d’une corde ultra serrée, pendant que Maîtresse Mercury continuait à me fouiller le cul. Maîtresse Naëlle sortit un petit fouet, pour fouetter le gland qui ressortait du paquet formé par ce bondage. Puis, elles échangèrent de place. La main de Maîtresse Naëlle est un peu plus large que celle de Maîtresse Mercury, et comme j’avais bien été préparé, après quelques allers et venues, Maîtresse Naëlle enfonça directement son poing fermé dans mon anus grand ouvert. Elle s’amusa alors à triturer ma prostate. J’étais comme paralysé: ressentir ce poing monumental de Maîtresse Naëlle dans mon cul de salope était l’extase absolue !! Pendant ce temps, Maîtresse Mercury sortit la roulette à pic pour me martyriser les tétons et le gland. Ces douleurs multiples étaient un délice pour la salope masochiste que je suis. Je ne savais plus où donner de la tête. J’étais un jouet entre leurs mains expertes et ne pouvaient que les remercier de la douleur qu’elles m’infligeaient. Après ce moment d’une rare intensité, je fus détaché. Comme j’avais soif, Maîtresse Mercury pissa dans la gamelle et m’ordonna de la boire jusqu’à la dernière goutte, ce que je fis avec délice. Je léchais à nouveau les chaussures et semelles de Maîtresse Mercury pour la remercier pour ce moment d’extase, pendant que Maîtresse Naëlle m’écrasait le sexe et le gland avec sa chaussure. Puis, elles échangèrent de place. Maîtresse sortit alors un énorme gode ceinture et m’ordonna de la sucer. Je m’étouffais dessus, pendant qu’elle me forçait à l’avaler en entier en poussant ma tête fortement. N’étant pas encore très entraîné aux gorges profondes, je fus à 2 doigts de vomir, ce qui les fit bien rire. Il va me falloir de l’entrainement !!

Une fois Maîtresse Naëlle partie, j’avouais à Maîtresse Mercury avoir vécu un moment unique, et que Maîtresse Naëlle n’y vas pas « par le dos de la main morte de la cuillère » comme on dit. Épuisé, le cul défoncé par les poings de ses fabuleuses maîtresses, je nettoyais à nouveau le donjon pendant que Maîtresse Mercury sortit pour aller profiter d’un repas bien mérité.

Ma Reine eu la gentillesse de me ramener une gamelle de riz, que je mangeais bien sûr comme une chienne à 4 pattes et sans les mains bien évidemment.

Maîtresse Mercury m’ordonna alors de m’habiller en pute, porte jarretelle, bas résille, jupe ras la touffe et talons aiguilles de 10cm. Agenouillée devant elle, Maîtresse Mercury me maquilla comme une bonne pute. Quel bonheur je vivais: je me sentais le jouet dans les mains expertes de cette fabuleuse dominatrice et je me sentais petit à petit devenir femme. Elle me passa un manteau de fourrure et nous voilà partit dans sa voiture vers un quartier chaud, espérant trouver de vraies putes pour que je fasse le tapin à côté d’elles. Elle me déposa en voiture et partit un peu plus loin pour me surveiller. Malheureusement, il n’y avait aucun client ce soir, et après avoir galéré à marcher avec ces talons de 10cm (je ne sais pas comment font les femmes pour supporter ça !!), Maîtresse Mercury me récupéra quelques centaines de mètres plus loin. Je croisais tout de même le regard de passants, certains amusés, d’autres outrés. Ma mini-jupe cachait à peine mon sexe enfourné dans sa cage. J’aurais aimé pouvoir lui faire plaisir en lui ramenant un client, mais ce n’était pas le bon soir.

Avant de rentrer au donjon, Maîtresse Mercury me refit marcher quelques mètres pour me filmer et conserver un souvenir de cette drôle de soirée. Une fois rentrée, après avoir pris une douche, elle m’enferma dans ma cage. Epuisé par cette journée, je finis par m’endormir.

Le lendemain matin, après avoir pris ma douche externe/interne, je nettoyais le donjon. Maîtresse Mercury sortit pour aller prendre son petit déjeuner. Au bout d’une demi-heure, je reçus 2 SMS: « Habille-toi en pute », puis « Commence à te préparer le cul ». J’adore ses ordres directs à distance. Cela me faisait ressentir être totalement à sa merci, même pendant ses quelques absences pour qu’elle puisse récupérer.

Une fois habillée, je l’attendais en me préparant avec mon gode de 6cm. Je me présentais à elle comme une chienne en chaleur, faisant des allers-retours sur cette bite accueillante. Elle m’installa à nouveau sur la chaise gynéco. Après m’avoir solidement attaché, Maîtresse Mercury me mis de nombreuses pinces sur le sexe et aux couilles, peut-être une vingtaine. Elle fixa les pinces croco sur mes tétons, puis me mit des patchs électriques, l’une sur une couille, l’autre proche du gland. Je dois avouer que je supporte mal la torture électrique. J’arrive difficilement au niveau 5. Heureusement que Maîtresse Mercury n’appuie pas sur le bouton « choc«  qui envoie directement une décharge de niveau 10 !! Elle installa à nouveau la fuck machine. Après quelques minutes, elle m’annonça que j’allais enfin pouvoir jouir. Maîtresse Mercury me branla alors avec son magic wand, tout en tirant sur la chaîne qui reliaient mes pinces crocos. Je ne mis que quelques secondes à libérer mes couilles remplies depuis une dizaine de jour. Cette jouissance du pure douleur était un vrai délice. Maîtresse Mercury étala mon sperme sur mon visage, et je ne manquais pas d’avaler goulument ses doigts couverts de mon foutre.

Grâce à ce stage, j’ai découvert que j’étais plus qu’un soumis masochiste. Maîtresse Mercury a vraiment fait ressortir la femelle en chaleur qui était en moi, que je découvre petit à petit à travers ces instants forts.

Merci à ma femme d’accepter de me laisser vivre ces moments de plaisir intense et à vous Maîtresse Mercury pour tous les supplices et humiliations que vous m’avez fait vivre. Nous, vos soumis, sommes tous fiers d’être membres de votre cheptel. C’est un moment unique d’avoir partagé ces 48h d’extase, de souffrance et d’humiliation sous votre joug dans une totale confiance. J‘espère avoir l’honneur de me retrouver à nouveau à vos pieds pour aller encore plus loin et que ce récit aura donné envie à d’autres soumis de les partager avec vous.

Au plaisir de me retrouver à nouveau à vos pieds,

Paulette, la (salope) soubrette

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